Nos métiers
Nos métiers, c’est d’accompagner
Les producteurs, pour structurer des filières de production. Les consommateurs, pour tenter de faire comprendre la différence que l’on propose.
Tout en se faisant accompagner. Par d’autres acteurs du Circuit Court. Par des structures issues de l’Économie Sociale. Par vous aussi, consommateurs. Producteurs. C’est de l’échange à tous les niveaux. Qui élève le niveau. C’est en fait la singularité d’un collectif.
Appui aux filières de production
Paysans-Artisans ne fait pas qu’acheter des produits aux producteurs. Que du contraire. C’est certain : faire du volume pour les producteurs est une des clés de déverrouillage. Plus de ventes en Circuit Court il y a, plus de fermes embarquées il y aura.
Mais pas n’importe comment. Tout nouveau producteur doit être accepté par le Conseil d’Administration. Puis, une fois intégré, est partie prenante d’une filière de production de la Coopérative.
Ces filières de production, on tente de les structurer. Au moins de trois façons : en motivant à boucher des trous de gamme. C’est-à-dire à lancer de nouvelles productions pour des produits qui
manquent à l’offre de la Coopérative. Mais aussi en renforçant les producteurs, en planifiant, en assurant des débouchés, des volumes, en accompagnant sur En réunissant les producteurs, filière de production par filière de production, pour voir ce que l’on peut améliorer collectivement (offre, qualité, diversité mais aussi problèmes de production).
Commercialiser différemment
Tous ces produits issus de Paysans et Artisans que l’on connait, membres de la Coopérative, on se doit de les vendre de façon cohérente.
En vente en ligne, via des groupes de village / de quartier mobilisés autour des valeurs de la Coopérative.
En magasin, en réinventant des métiers diversifiés où le personnel et les bénévoles sont en contact avec les habitants du quartier / du village. Où les produits ont des visages.
En « Petit-Grossiste », via un réseau de magasins à la Ferme / indépendants se fournissant via la Coopérative par conviction. Mais aussi via un réseau de collectivités souhaitant pour tout ou au moins en partie passer à des matières premières de qualité, avec histoire.
À chaque niveau de commercialisation ses particularités. Mais dans les trois cas, il y a de l’humain, des échanges de réalités, de la compréhension. Et des valeurs que l’on essaye de partager. De développer.
Sensibiliser et mobiliser
Mais le contact à la vente avec le consommateur ne suffit pas. Il faut d’autres instants. D’autres moments. Où la rencontre s’opère. Où producteurs rencontrent consommateurs. Staff. Bénévoles.
Coopérateurs. Et inversement.
Il faut aussi des moments où l’on s’informe. Où l’on réfléchit. Ensemble. Ciné-Débats. Conférences. Visites à la Ferme. Marchés. Tous ces moments où la rencontre est permise. Suscitée. Et d’où découle une compréhension plus approfondie. Un lien aussi. Qui fait que l’on ne lâchera pas. Parce qu’on se connait.
Inclure et décloisonner
Ensemble. Cela veut bien dire avec tout le monde. Et non avec certains groupes de la société désireux de s’intéresser aux problématiques de l’Alimentation.
Non. Paysans-Artisans, c’est pour tous. Et avec tous.
